pêcheursActualités Société / Faits Divers 

Un pêcheur survit 94 jours en plein océan avec des cafards et des oiseaux !

Dans les profondeurs de l’océan Pacifique, une histoire de survie défie l’entendement. Un pêcheur péruvien, âgé de 61 ans, a tenu tête à l’adversité lors d’un périple involontaire qui a duré près de trois mois. Cet homme, déterminé et ingénieux, a su puiser dans les ressources de l’océan et de son propre esprit pour affronter l’isolement et les défis de la nature. Voici le récit de sa mésaventure extraordinaire et de sa résilience face à l’inattendu.

L’océan est devenu son domicile

Parti pour une excursion de pêche le 7 décembre, le sexagénaire péruvien Máximo Napa n’aurait jamais imaginé l’issue de son voyage. Emporté au loin par de puissants courants marins et confronté à des conditions météorologiques extrêmes, il s’est retrouvé isolé du monde, flottant à la merci des vagues. L’océan est devenu son domicile et le spectacle incessant des vagues son unique compagnie.

Autre nouvelle insolite :   Déluge à Majorque : l'aéroport transformé en piscine géante (vidéo impressionnante)

Les premières semaines en mer, Máximo a vécu grâce aux provisions qu’il avait emportées. Mais, bientôt, ses provisions se sont épuisées, le laissant dépendre des cadeaux incertains de l’océan. Il a décrit aux médias son régime de survie : « Parfois, des poissons s’approchaient du bateau et je les attrapais pour me nourrir. » Lorsque même les poissons se faisaient rares, il a dû recourir à des mesures extrêmes, déclarant qu’il a commencé à manger des cafards qui avaient infesté son embarcation.

« Je ne voulais pas mourir pour ma mère »

Privé d’eau potable et d’un abri sûr, Napa a attendu les averses occasionnelles pour recueillir de l’eau. Il raconta plus tard comment le souvenir de sa famille l’avait maintenu en vie : « Je ne voulais pas mourir, pour ma mère. Chaque jour, je pensais à elle et à ma petite-fille de deux mois. »

Autre nouvelle insolite :   Un influenceur filme sa virée en McLaren... et finit sa course sur l'autoroute !

Son calvaire a pris fin le 15 mars quand un navire équatorien l’a repéré. Sa fille, Ines Napa, exprima le soulagement familial : « C’est un miracle qu’ils soient tombés sur mon papa… Nous n’avons jamais perdu espoir. » Récupéré par un hélicoptère, le capitaine Jorge González rapporta que malgré la situation, Máximo était « en bonne condition physique » et qu’il pouvait « marcher, se laver. »

Articles similaires